Déployé de l’Inde à l’océan Austral, de l’Afrique à l’Australie, l’océan Indien regorge de magnifiques îles et archipels. Du Zanzibar aux îles Laquedives, tous se valent par leur beauté naturelle et leur culture singulière. Dans cette région du monde, les mots exotisme, plages de sable fin et eaux turquoise semblent être courants. A l’intérieur des terres, ces décors laissent place à des paysages hallucinants. Partout, cascades et chutes d’eau, végétation luxuriante, faune exceptionnelle ne manquent pas de créer des spectacles à couper le souffle.
Terres convoitées depuis des lustres, les îles de l’océan Indien ont été, pour la plupart, envahies par diverses civilisations. Les nations asiatiques, en particulier les Indiens et les Malaisiens, ont été les premières à les conquérir. Viennent ensuite les Européens qui y ont imposé leurs cultures et leurs règnes. Mélangée aux traditions ancestrales, cette situation a donné naissance à des coutumes profondément métissées au sein des natifs de ces terres. La mer des Indes renferme également une énorme richesse culturelle. Plusieurs styles musicaux y ont vu le jour, notamment le séga et la maloya. La gastronomie, quant à elle, a été grandement influencée par la présence européenne, indienne et chinoise. La cuisine en ces lieux constitue une véritable découverte et un vrai régal pour les papilles.
En raison des nombreuses îles qui parsèment l’océan Indien, il est évident que les sports nautiques sont très prisés. Plusieurs sites de plongée font la renommée de cette partie du monde, à savoir Saint Leu à la Réunion, les côtes de l’île Rodrigues, les larges de Male Nord, Male Sud, Ari et Felidhoo aux Maldives et tant d’autres. Selon une illustration conservée au musée national de la marine à Sydney, cet océan serait le berceau du surf. Ainsi, on retrouve presque partout des spots pour cette discipline. La randonnée se retrouve également partout. Cependant, les îles volcaniques telles que les Comores et la Réunion sont les destinations les plus appréciées pour faire du trekking.